03/06/2008



Similar but different*




*Victime d'une contre-façon



"Escape" / JÉRÔME GRAS
(60 Tirages numériques)
40x30cm
Résidence Maison Chevolleau, Fontenay-le-comte
2004



"Escape" (60 Tirages numériques) 40x30cm
Résidence Maison Chevolleau, Fontenay-le-comte
2004



Ink-jet (photo from performance) , 2006
100x70cm. Prod. La Filature_Scène Nationale de
Mulhouse.
(Courtesy de l’artiste)

Viser le point de fuite
Déclencher
Courir

6 secondes devant soi pour tenter de quitter le champ de l'image.

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fuite n°1/ Raphaël Navarro 2008

47°31'13.64"

6°45'44.54"



fuite n°3 / Raphaël Navarro 2008

47°35'15.88"

6°46'48.04"

fuite n°4 / Raphaël Navarro 2008

47°35'15.38"

6°46'50.85"

"fuite n°11 " / Raphaël Navarro 2008
47°48'48.87" 7°30'58.16"



As Far as I Could Get / Running 6A

John Divola

1996/97




As Far As I Could Get
by John Divola
First edition published in 2008

AS FAR AS I COULD GET, 2009–2010 John Divola


Un homme – de dos – courant le plus vite possible, le plus loin possible. Le long d’un chemin se perdant dans un horizon lointain, voilé, inconnu ; il repousse sans cesse les limites, ses limites. Au travers de ces photographies, John Divola nous dévoile le déploiement d’un instant, conférant à ses images l’empreinte de l’éternité et les inscrivant de ce fait au sein de l’espace-temps. D’un point de vue plus personnel, le photographe a réalisé ces images à approche de la cinquantaine, lorsque la vie n’apparaît plus comme infinie et immuable. Son travail va donc de pair avec une notion de mortalité furtive ; il se profile comme un point de non-retour : il n’y a plus de choix possible, l’homme ne peut qu’aller de l’avant. Mais John Divola, lui, poursuit sa course sur le chemin de la vie, sans tergiverser. Pour la réalisation de ces photographies, l’artiste a utilisé un film 35 mm à gros grain. Dès lors, sa personne nous semble comme absorbée par l’image elle-même. Récemment, John Divola s’est également servi de la technologie GigaPan – des images panoramiques prises en très haute résolution –, ce qui lui permet d’explorer ses clichés à travers le temps, de se mouvoir parmi les innombrables détails les composant, comme dans un ouvenir que l’on ranime grâce à la mémoire. Le temps et l’espace sont donc deux éléments clés pour la lecture de cette œuvre. Toujours est-il que, en s’éloignant aussi vite qu’il le peut de son appareil photo, John Divola nous laisse nous, observateurs, face à notre existence, avec toutes nos interrogations. (Alexia Brodu)

(source)

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Vous avez juste pas pu trop profiter de l’été, quoi.

2003, projet réalisé avec la participation de
Camille Barré, Matthieu Jauniau, Christophe Pichon et Yann Sérandour.

De la carrière à la station essence en passant par la plage,
ce projet relate la dérive d’un rocher lors d’une journée d’été.


Vue de l’exposition, Isabelle Arthuis, Francesco Finizio, Julie C. Fortier,
Sébastien Vonier, Interfaces, Le Quartier, Quimper (France), 5 déc. 2008 – 5 mars 2009
photo : Dieter Kik


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(Googles images)


Still Life and Xitle 2007 Collection Cesar Cervantes, Mexico
"Jimmie Durham. Pierres Rejetées..." : du 30 janvier au 12 avril 2009 à l'ARC, Musée d’Art moderne de la Ville de Paris.